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				 Au XVIe siècle, les "larrons" désignaient des compères, des filous qui s'entendaient pour préparer un mauvais coup. Au XVIIe, l'expression a été complétée par le mot "foire", ces grands marchés publics où, en raison du nombre important de visiteurs, tous les mauvais coups étaient faciles à perpétrer. Puis la connoration négative de "larrons", proche de celle de "voleurs" ou de "brigands", s'est peu à peu perdue. On emploie aujourd'hui couramment cette expression pour qualifier deux personnes qui s'entendent bien et qui pourraient faire des bétises ensemble. 
					
								
																			
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